Réunion de la commission Formation des Enseignants et Enseignement Supérieur dimanche 11 janvier 2015
Présents : Jean-François Bergeaut, Richard Cabassut, Hélène Gagneux, Agnès Gateau, François Martini, Rémi Duvert.
Excusés : Valérie Girardin, Céline Mulet-Marquis, André Stef, Jean Toromanoff.
La majeure partie de la réunion a été consacrée à la mise à jour du texte « propositions et revendications » (rubrique « formation des enseignants »), texte qui sera proposé au comité national de mars, puis voté en juin, puis inséré dans la future plaquette « Visages ».
Les autres points de l’ordre du jour n’ont été abordés que rapidement.
Concernant la PAP (« plateforme d’accompagnement pédagogique »), il s’avère que le concept est encore assez flou. Cependant il nous semble que la future PAP (pour élèves) pourrait être une bonne base pour une PAP spécifique pour les étudiants se destinant à l’enseignement. La commission n’a cependant pas les moyens, pour le moment, de créer des contenus et des parcours, mais pourra repérer, dans la future PAP, ce qui pourrait servir.
À propos des apports du numérique dans l’enseignement, on signale, comme exemples de ressources, les « mallettes numériques » pour l’école primaire : Lyon, Marseille, Bretagne (G.Gueudet, CREAD, UBO)…
Sur l’attractivité des cursus universitaires en mathématiques (recherche et enseignement), qui reste faible, il nous faudrait davantage réfléchir à ce qu’on pourrait faire, notamment en travaillant avec la CFEM (et l’IGEN ?).
D’autre part, il serait intéressant de connaître les taux académiques de démission des M2 stagiaires, qui paraissent non négligeables cette année…
Nous avons aussi évoqué la difficulté, pour certaines régionales APMEP, de contacter les stagiaires. Nous espérons pouvoir facilement utiliser la nouvelle base « adhérents » pour contacter ceux qui travaillent dans une ÉSPÉ… À noter que pour les M2 stagiaires de l’académie de Lille, l’adhésion APMEP est offerte pendant un an ; cependant on constate peu de renouvellement d’adhésion, en particulier parce qu’on a peu d’occasions de voir ces stagiaires durant l’année.