Relevé de décisions du comité des 29 et 30 mars 2008
Le comité adopte le compte rendu du comité de novembre.
Le comité donne son accord pour que les rapports d’activités et financiers soient proposés au vote des adhérents.
Le comité demande au bureau de réfléchir à la possibilité de diffuser le BGV par voie électronique, sur la base du volontariat des destinataires.
Le comité donne mandat au bureau pour essayer de minimiser les frais de port du BGV.
Position du comité par rapport aux projets de programmes de l’école primaire :
Les quatre motions suivantes ont été soumises au vote du comité :
l’APMEP demande le retrait du projet de programmes de l’école primaire soumis à consultation,
l’APMEP envisage la mise en place de nouveaux programmes et propose des aménagements,
l’APMEP réclame un moratoire et refuse la mise en place de nouveaux programmes de primaire à la rentrée 2008,
l’APMEP refuse de prendre une position tranchée dans la guerre pédagogique et se tient prêt à participer aux travaux permettant d’améliorer l’efficacité de notre système éducatif.
La première motion a recueilli la majorité des voix.
Le comité a souhaité se prononcer sur la baisse des postes proposés aux concours cette année.
Alors que s’annonce la vague de départs massifs à la retraite, l’APMEP dénonce :
la poursuite d’une baisse inquiétante du nombre de postes offerts aux concours de recrutement de professeurs enseignants les mathématiques (professeurs des écoles, des collèges et des lycées),
l’absence perpétuée d’un plan de recrutement pluriannuel,
le recours systématique à des heures supplémentaires dans l’enseignement secondaire. Leur utilisation massive ne peut que nuire gravement à la qualité de l’enseignement tout en donnant l’illusion d’économies.
L’APMEP souligne qu’un nombre insuffisant d’enseignants titulaires va à l’encontre d’un enseignement de mathématiques toujours mieux assumé, aussi bien que du recentrage affiché sur les « fondamentaux ».
Les journées nationales de la Rochelle
Les organisateurs n’ont pas obtenu des politiques les subventions escomptées. Ils craignent que les journées nationales qu’ils organisent soient fortement déficitaires. Le comité accepte le principe d’une légère augmentation des frais d’inscription.